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Finally- We thank Valerie Sandelin for her work translating to English (scroll down from the film) these classic Schauberger IMPLOSION Films..
Note how the effect of vorticity to heal water is extensively documented..
also note how Mr. plocher.de shows extensively how water is healed with charged rock powder.
We have radically improved that concept by accurately teaching the electrical engineering HOW to charge the rock:
see the Phase Conjugate Dielectric at pyraphi.com and fractalfield.com/icosaphi
(previous group like Plocher make the mistake of calling that bioactive electric field 'information' and suggesting it cannot be measured or described. It is in fact a centripetal and conjugating dielectric)
The point here is you actually SEE the charged rock powders accelerating the life force in the water- see the increase in bubbles in the lake. We can now teach the physics of WHY this charge field is bioactive and accelerates metabolism- AND heals water (makes it centripetal).
Update from Dan Winter- Nov 11, 2016: This is why our revolutionary "Schauberger's Dream" Imploder Vortex Nozzle in the SUPERIMPLODER- www.theimploder.com
- is so much potentized when the water is mineral rich/hard (for example the rock powder in Biodynamic preparations).
This makes the vortex PIEZOelectric- meaning the electric field around the vortex is even more centripetal and bioactive!
Schauberger's water vortex -doped with piezo rock powder- so famously began generating electricity from gravity - just at the moment it spontaneously began getting COLDER! (negentropic)-
AND we see this same negentropic spontaneous cooling effect in the negentropic plasma tubes at theraphi.net !
return to index: fractalfield.com , facebook.com/fractalfield
Les Maitres de l'Eau Viktor Schauberger 1/2 par thesavoisien
Les Maitres de l'Eau Viktor Schauberger 2sur2 par Cl4VieFrere2010
Masters of Water Viktor Schauberger (translation Valérie Sandelin) Les Maitres de l'Eau Viktor Schauberger 1
of 2: We know it to be source of life although we still remain in awe to see her dance, and produce sounds and music. Anyone can succumb to her magic but few are those who know her intimate nature ..
In former times miracles were attributed to water. Water enjoyed great esteem in ancient cultures and religions. Today it has become merely a consumer product - and our knowledge on the subject is limited to the H2O formula, the myth of water has turned into a molecule.
Otmar Grober has put stone platforms in the River. With these installations water can move back and forth in its rectified bed. Where space is lacking to restore the meandering stream’s path, Grober recreates the living pattern within the bed.
First stage filtration: germs and bacteria that manage to pass through the micro filters are eliminated with ozone. Second stage: the water passes through a layer of sand about 1.4 meter thick. At the end chlorine is added. Thus it will remain clean during the long journey that transports it to private individuals.
The
problem is that water
does not want to go straight, because in nature it is used to
meander,
dixit Schauberger. This workshop belongs to a member of the association for research on implosion, whose objective is to put into practice the knowledge of Viktor Schauberger. If we take a look into the conduit, we better understand how water circulates there.
In a large packed train station Bernd Kroeplin made a 90 minutes presentation on the memory of water, with the title: “Energization and improvement of water quality”.
"We have two camps: on one hand, the chemist who makes his analysis: water is H2O even if it has different qualities, and on the other hand the practitioner Schauberger: has studied the spiral rolling up movement of water, its ability to store energy and to regenerate continuously. With my system we can accelerate this process so it is complementary.”
Up to 150 liters of wastewater per second flow into the treatment ponds where pollutants such as phosphate and nitrogen compounds are decomposed by microorganisms. The goal of Plocher is to accelerate these biological treatment processes, the catalysts used for this purpose are produced on an industrial scale at his plant in Merbourg on Lake Constance.
On a conveyor containers filled with Cretaceous limestone or quartz powder pass under invisible devices intended to transmit the ‘information’ (charge) of oxygen. The press suspected a trick or fraud in this “magic box”.
At Pythagoras Kepler School in Bad Ischl, he organizes seminars and workshops on water. Phenomena and practical applications studied and analyzed here finally start to interest academic science.
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Les Maitres de l'Eau Viktor Schauberger Les Maitres de l'Eau Viktor Schauberger 1sur2 : www.dailymotion.com/video/x2ex4e_les-maitres-de-l-eau-viktor-schaube_music#from=embed 2sur2
:
www.dailymotion.com/video/xf0psa_les-maitres-de-l-eau-viktor-schaube_tech On
dit qu'elle est source de vie mais notre surprise n'en est pas
moins grande lorsqu'elle se met à danser, lorsqu'elle nous donne
à voir des sons et de la musique. Tout le monde peut succomber à
la magie de l'eau mais rares sont les hommes qui connaissent sa
nature intime.. Autrefois
l'eau faisait encore des miracles. Elle jouissait d'une très
grande estime dans les cultures et les religions ancestrales.
Aujourd'hui elle est devenue un produit de consommation courante
- et nos connaissances sur le sujet se limitent à la formule H20
; le mythe de l'eau s'est transformé en molécule. Alexander
Lauterwasser vit au bord du lac de Constance. C'est avec une
précision extrême qu'il remplit sa coupelle, une coupelle dont
la fonction n'est pas sans rappeler le haut parleur. Grâce à un
transducteur acoustique, les sons sont directement répercutés
sur la surface de l'eau. Chaque goutte d'eau en trop fausserait
le résultat. Juste au-dessus de la coupelle, Alexander
Lauterwasser a fixé une caméra vidéo qui lui permet de filmer
le comportement de l'eau dans ses moindres détails. Lauterwasser
réalise des expériences avec tout son spectre de son générateur
de fréquences. "Ce
qui ne cesse de me fasciner c'est la sensibilité extrême de
l'eau aux vibrations, aux sons ou même à la musique et sa
capacité d'y répondre en donnant naissance à des motifs ou des
structures magnétiques. Si je modifie un tout petit peu la
fréquence, cela se répercute aussitôt sur le motif qui
s'imprime à la surface de l'eau. Ce phénomène peut être
parfaitement visualisé par des reflets lumineux. Dans
le laboratoire de Lauterwasser des images d'ondes apparaissent.
Des images qui varient d'une part en fonction du volume et de la
température de l'eau, d'autre part en fonction de la fréquence
et du volume sonore. Des images qui font parfois penser à des
motifs religieux. "Au
début de l'évangile selon Jean il est écrit : "au
commencement était la parole" et au début de la genèse il
est dit : "l'esprit de dieu se mouvait au dessus des eaux."
Et si l'on regarde les textes hébraïques, on se rend compte
qu'il serait plus juste de parler des mugissements de la tempête.
Il y a donc déjà le souffle et le mouvement de l'air, la
vibration de l'air et l'eau est l'élément qui répond à ces
vibrations avec le plus d'intensité." La
force de l'eau inspire toujours le respect. Ouverture des écluses
à Bad Goisern en Autriche. La délivrance des eaux retenues
servait autrefois à transporter le bois dans la vallée. On
imagine aisément que de nombreux troncs d'arbres se fracassaient
sur les rochers. Le
lac de retenu formé par le Weißenbach se vide en 60 mn. L'un
des nombreux spectateurs vient de la ville voisine de Bad Ischl,
Jorg Schauberger. Son grand père a construit des installations
permettant le transport du bois par flottage. "Mon
grand père a été le premier à défendre une approche globale
de la nature. De nombreuses personnes le considèrent comme le
père de la recherche hydraulique moderne. Il était un
observateur hors du commun. Il a découvert l'essence de l'eau et
percé à jour plusieurs de ses secrets." Modeste
garde forestier, Viktor Schauberger a connu son heure de gloire
dans les années trente grâce à des installations comme
celle-ci. Dans ces conduits on transportait même du bois dont le
poids était plus lourd que l'eau. Le secret : une injection
régulière d'eau froide. Par expérience Schauberger savait que
l’eau froid peut porter de plus lourdes charges que l'eau
chaude, mais ce n'est pas tout. "Les
installations construites par mon grand père Viktor Schauberger
ne présentaient pas une coupe transversale rectangulaire mais
ovoïde, de plus elles ne suivaient pas un tracé rectiligne mais
décrivait des méandres à travers la vallée." Aucun
ruisseau ne cherche le plus court chemin vers la mer. Dans la
nature tous les cours d'eau décrivent des courbes, des méandres.
Même sur une vitre lisse l'eau ne suit pas un tracé rectiligne
mais commence à serpenter. Elle donne naissance à une courbe
tridimensionnelle qu'aucun ordinateur au monde ne peut calculer. Pendant
plus d'un siècle les ingénieurs et les techniciens ont forcé
le tracé des fleuves et des rivières. Dans la capitale
autrichienne le cours de la rivière Vienne a été rectifiée
puis corsetée dans du béton pendant le règne de l'empereur
François Joseph. Aujourd'hui
on essaie de revenir aux anciens tracés. Dans la banlieue de
Vienne, un retour aux sources n'en est encore qu'à ses
balbutiements. En Styrie en revanche on observe déjà des
résultats tangibles. Otmar
Grober est un maître de l'eau. Sa mission consiste à réguler
les cours d'eau et à prévenir les crus. A l'instar de son père
spirituel, Viktor Schauberger, il puise son inspiration dans
l'observation des torrents de montagnes. "Voici
une rive qui a été massivement consolider contre les
inondations, mais Viktor Schauberger disait : il faut réguler
un fleuve de l'intérieur en partant de sa partie centrale." Dans
cette rivière, Otmar Grober a construit une sorte d'escalier.
Objectif : animer la rivière de l'intérieur tout en la
dirigeant. "Le
principe de la rampe pendulaire consiste à redonner au ruisseau
ses anciennes structures d'écoulement afin qu'il retrouve son
mouvement pendulaire initiale. Il s'agit d'un simple amorçage
qui doit l'aider à vivre à nouveau sa vie. En période de cru,
l'eau commence à tourner sur elle-même puis à tourbillonner.
Le mouvement latéral est remplacé par un mouvement torsadé,
une torsade d'eau. En claire, j'ai un diagramme d'écoulement
convexe à la différence des rampes traditionnelles où l'on a
un diagramme d'écoulement concave et sur les lisières des
débordements. Grâce à la rampe pendulaire, les rives sont
préservées. Je concentre l'énergie sur la partie centrale du
cours de la rivière. Autre
technique, même finalité. Otmar
Grober installe de gros escargots dans les méandres des cours
d'eau comme ici dans la Salza. A l'aide d'une drague les
différentes parties de l'escargot sont assemblées une à une.
Otmar Grober n'utilise que des matériaux naturels comme la
pierre ou le bois. Une méthode bon marché et respectueuse de
l'environnement. Pour Grober et ses supérieurs ces aménagements
hydrauliques, proches de la nature, s'inscrivent dans une
philosophie de la vie. Les crus autant d'occasions de tester
l'efficacité de ces dispositifs originaux. "Comme
l'escargot se trouve au fond de la rivière, il est difficile de
distinguer les courants et les tourbillons. En revanche on voit
très bien que l'eau s'éloigne de la rive et qu'elle ne la
menace plus comme avant." Otmar
Grober fait prélever des échantillons d'eau dans la rivière.
Résultats des analyses, la pose de la nouvelle installation a
entraîné une modification de la conductivité de l'eau, une
baisse du pH qui se rapproche de son taux idéal, ainsi qu'une
augmentation de la teneur en oxygène à l'intérieur de
l'escargot. Mais le résultat le plus impressionnant, c'est la
rivière elle-même qui l'a exposé au grand jour après une crue
abondante, à 100m en aval. "Après
la pose de l'escargot, un important banc de cailloux qui s'est
formé. La rivière a protégé ses rives par ses propres moyens.
Je ne peux pas vous expliquer pourquoi ça s'est passé comme cà,
mais le fait est là. Ce sont les grands mystères que l'eau
charrie avec elle. Ces
mystères Viktor Schauberger savait les déchiffrer mieux que
quiconque. Une exposition qui se tient près de Gratz retrace
les grandes lignes de son œuvre. Jörg
Schauberger et Otmar Grober en train d'observer un entonnoir où
se crée un impressionnant tourbillon. Des tourbillons comme
celui-ci, on en trouve aussi dans la nature. “Viktor
Schauberger a encore connu l'eau sous sa forme naturelle. Il a vu
la joie qu'elle prenait à tourbillonner. Ce n'est pas un hasard
si la nature faisait couler l'eau de cette façon. Un tourbillon
comme celui-ci présente l'avantage de créer une vaste surface
qui emmagasine un maximum d'énergie.” “Viktor
Schauberger a dit : on ne peut pas détruire l'énergie, on peut
simplement la dissoudre. Dans les tourbillons l'eau se refroidit
et sa densité augmente, résultat : la qualité de l'eau
s'améliore automatiquement. En claire la densité de l'eau
augmente, la tension à la surface augmente et le potentiel de
l'eau s'en trouve considérablement renforcé.” Kapfenberg en Styrie Otmar
Grober a fait poser des plateformes en pierre dans la rivière.
Grâce à ces aménagements elle peut faire des mouvements de va
et vient dans son lit rectifié. Lorsqu'il manque de place pour
reconstituer les méandres du cours d'eau, Grober recrée
l'espace vital à l'intérieur du lit. Gert
Folk est avocat. Il vit et travaille au bord de la Mürz, à
Kapfenberg. Du haut de sa fenêtre il voit les eaux à nouveau
tumultueuses de la Mürtz et le chemin de fer longeant la
rivière "Vous
pouvez facilement imaginer le terrible danger que cela
représenterait si l'eau venait à monter un peu trop le long de
l'ouvrage ferroviaire. Les aménagements bien que proches de la
nature sont tellement bien faits que nous n'avons jamais été
inquiétés.” Otmar
Grober a toutes les raisons de se réjouir. Ses aménagements
font aussi le bonheur des pêcheurs autrichiens. Le témoignage
de l'un d'entre eux Gert Folk : "Le
problème avec les aménagements traditionnels c'est que les
fleuves et les rivières sont corrigés de façon trop lisse.
Résultat le courant fait un bruit infernal. Il n'y a pas
d'obstacle à l'intérieur de la rivière. Les poissons
n'arrivent pas à s'adapter. D'une façon générale le fond de
la rivière est trop grossier pour qu'ils puissent s'y frayer.. A
l'inverse nous avons pu constater que les aménagements naturels
ont une influence très positive sur le stock de poissons." Introduction
de truites dans la Salza.
Elles ont été récupérées dans le bras d'un ruisseau qui sera
bientôt remblayé. Les truites ont besoin de quelques minutes
pour s'habituer à leur nouvel environnement, c'est pour cette
raison qu'elles ne prennent pas la fuite Otmar
Grober en profite pour étudier des courants sous l'eau, des
courants invisibles en temps normal. "On
voit parfaitement dans quelle direction coule l'eau qui se trouve
sous la surface. Dans ce cas précis la tête du poisson est
devant, logiquement l'eau arrive donc par devant. Si l'on regarde
d'en haut, on voit l'eau couler avec un écart de 30°. Là on
voit parfaitement que le poisson se trouve en plein dans le
courant. Il ne bouge pratiquement pas, ou comme l'a dit
Schauberger, il bouge en fonction de ses propres possibilités et
nous ne les connaissons pas toutes." Schauberger
a essayer de reproduire les mouvements de la truite en train de
nager et d'en tirer un principe de propulsion mais jusqu'à
aujourd'hui ce projet est resté un vœu pieux. Otmar Grober
n'est pas le seul à s'intéresser aux formes de l'eau en
mouvement. Il y a 40 ans l'institut d'hydrodynamique a vu le
jour à Herrischried en Forêt-Noire. Aujourd'hui Wolfgang
Schwenk poursuit l'œuvre de son père, Theodor. "Lorsque
l'eau passe par dessus bord, elle ne coule pas de façon informe,
mais commence par tourner sur elle-même. Mon père, Theodor
Schwenk, a étudié en détails la morphologie de l'eau en
mouvement et découvert ainsi l’extrême sensibilité de
l'élément liquide, d'où son idée de baptiser l'eau : ‘chaos
sensible’.” Les
mouvements chaotiques de l’eau passent généralement inaperçus
sauf si on l'on ajoute quelques goutes de colorant. Force est de
constater que le monde de l'eau est en perpétuelle mutation.
Lorsqu'une goutte tombe dans l'eau elle commence par se
transformer en un anneau tourbillonnaire. Ensuite elle se
développe en déployant ses antennes comme un être vivant.
Theodor Schwenk a mis au point un procédé qui permet
d'enregistrer avec exactitude les formes de l'eau en mouvement,
puis de les reproduire. Son nom: la méthode des gouttes
sensibles. L'échantillon d'eau à examiner se trouve dans une
coupelle en verre spécial. A intervalle régulier, des gouttes
d'eau distillées tombent dans la coupelle. L'adjonction de
glycérine permet de ralentir et de rendre visibles les courants
dans cette coupelle. Grâce à un système optique compliqué les
images engendrées par les gouttes sont réfléchies dans un
appareil photo. Goutte
après goutte, guirlandes, rosaces, et tourbillons apparaissent
dans l'eau. Le nombre de gouttes augmentant la mobilité et le
comportement des flux s'améliorent. Couplée à des analyses
chimiques, la méthode des gouttes sensibles permet de se
prononcer sur la qualité de l'eau. L'eau de source présente une
image de courant très différenciée. Une goutte de lessive et
l'image des courants ne présentent quasiment plus de structure,
de cette manière on a déjà pu établir de nombreux diagnostics
de l'eau. "A
l'aide de ces échantillons prélevés pour l'un à la surface du
lac de Constance, pour l'autre dans les profondeurs du lac, il
est possible de démontrer que l'eau prélevée à la surface
possède une structure assez simpliste, en revanche l'eau
prélevée à 50 m de profondeur et distribuée à toute la
région, présente un comportement cinétique très complexe qui
rappelle celui de l'eau pure naturelle." Pour assurer l'alimentation en eau potable de près de 4 millions de personnes, 4000 litres d'eau sont pompées chaque seconde dans le lac de Constance. Captée à 60 m de profondeur l'eau jaillit à la lumière dans le réservoir du Sipplinger Berg. Elle doit ensuite être épurée. Première étape la filtration.. les germes et les bactéries qui réussissent à passer au travers de ces micro filtres sont éliminés à l'ozone. Deuxième
étape, l'eau traverse une couche de sable d' 1,40 mètre
d'épaisseur. A la fin on ajoute du chlore. Ainsi elle restera
propre durant le long trajet qui l'a conduit chez les
particuliers. Après
avoir été stockée, l'eau est acheminée vers Stuttgart dans
des conduits de la taille d'un homme. Elle voyage une journée et
demi sous pression et presque toujours dans des conduits
rectilignes. Le
problème c'est que l'eau ne veut pas aller tout droit, car dans
la nature elle a l'habitude de serpenter, dixit Schauberger. Klaus
Rauber, qui vit en Forêt-Noire nous montre qu'on peut
transporter l'eau autrement. "Nous
avons opté pour un tuyau en cuivre qui donne à l'eau qui le
traverse un mouvement spiral, enroulant. Ce mouvement est créé
par ces empreintes sur le cuivre. L'eau retrouve ainsi son
écoulement naturel ce qui favorise la croissance de plantes." Soumis
à un mouvement rotatif, les conduits cylindriques sont
travaillés jusqu'à sculpter un profil en forme de spiral.
L'atelier appartient à un membre de l'association pour la
recherche sur l'implosion, dont l'objectif est de mettre en
pratique les connaissances de Viktor Schauberger. Si l'on jette
un coup d'œil dans le conduit, on comprend mieux comment l'eau y
circule. Dans
le conduit à hélice, l'eau s'enroule sur elle-même et
progresse en dessinant une courbe en forme de tire-bouchon. La
ressemblance avec le tourbillon saute aux yeux. "Ce
conduit reprend les idées de Viktor Schauberger. Celui-ci a dit
que l'eau veut se déplacer de façon naturelle c'est-à-dire en
spirale tridimensionnelle. L'eau ne veut pas aller tout droit
comme dans les conduits cylindriques mais elle veut circuler en
décrivant un mouvement spiral semblable à la corne torsadée de
l'antilope koudou. Les conduits traditionnels sont en
contradiction totale avec la forme torsadée que l'on trouve dans
la nature. Viktor Schauberger a essayé de transformer cette
forme compliquée en une forme un peu plus simple. Voici une
tentative. Malheureusement il ne reste des conduits de l'époque
que des photographies mais où les différents types de conduits
sont parfaitement représentés. Dès 1952, le professeur Pepel
de l'université technique de Stuttgart a étudié certains de
ces conduits. Il a notamment pu démontrer qu'à partir d'un
certain débit il se crée une résonnance, en fait le conduit
produit son propre mouvement aspirant.” D'après
ce rapport la résistance au frottement est proche de zéro,
voire en dessous de zéro, concrètement cela signifie que l'on
n'aurait plus besoin de pompes pour transporter l'eau, ni même
sur des parcours ascendants. La technique de Schauberger repose
sur l'aspiration et non la pression. On pourrait même tirer de
l'énergie de nos conduits d'eau, une véritable révolution. Sur
les bords du lac de Constance se dresse une œuvre d'art en acier
chrome et nickel. Elle se situe juste à côté du bâtiment où
jaillit l'eau du lac. La sculpture a été érigée il y a trente
ans. "Cette
œuvre fascinante s'élance généreusement vers la terre en une
onde douce" déclarait
à l'époque l' architecte du complexe. Il a employé les termes
d'harmonie,
de rythmique
ondulatoire
et de courant
pulsé.
Les artistes qui ont créé cette sculpture auraient compris
intuitivement comment l'eau veut se déplacer dans un conduit. "Le
problème c'est que le monde scientifique ne s'est jamais plus
frotté à ce type d'expérience. Il faudrait de toute urgence
reproduire cette expérience de base pour qu'elle serve de
fondement aux recherches futures." Les
chercheurs spécialisés dans l'implosion ont aussi inventé cet
entonnoir hyperbolique en cuivre. Installé sur un terrain de
golf, cet entonnoir reçoit l'eau qui alimente le lac artificiel
du complexe. Lorsque celui-ci a été mis en place le bassin
était envahi par les algues. Quatre semaines plus tard la
quantité d'algues avait beaucoup baissé. Pour le propriétaire
du terrain de golf c'est grâce à l'entonnoir. "Nous
appliquons ici un des principes de Schauberger, en imprimant à
l'eau le bon mouvement, celle-ci se charge en énergie et en
oxygène, et elle vous le rend en terme de qualité." "L'eau
trouve la solution en elle. Elle se régénère, elle s'active et
elle redevient comme elle voudrait être. Aujourd'hui il existe
une foule d'appareils conçus pour énergétiser, activer et
vitaliser l'eau, et dans la plupart des cas ces appareils mettent
en pratique les principes de la formation du tourbillon que l'on
doit à mon grand père, Viktor Schauberger. L'eau
a une mémoire - les uns essaient d'effacer les mauvais souvenirs
comme les produits polluants avec un aimant, d'autres tentent de
raviver les bons souvenirs comme le mouvement spiral. Ces
réflexions peuvent paraître ésotériques mais depuis quelques
années des universitaires s'intéressent eux aussi au phénomène
de l'énergétisation de l'eau, l'un d'entre eux est le
professeur Ralf Otterpohl, directeur de l'institut de recherche
sur les techniques d'épuration des eaux usées à l'université
de Hambourg. "L'eau
est une substance mystérieuse, c'est sans doute pour cette
raison qu'il y a une foule d'appareils énergétisants. Les tests
scientifiques auxquels nous les soumettons nous permettent
peut-être d'approcher un peu plus les secrets de l'eau. Dans le
domaine du traitement des eaux usées, nous essayons d'améliorer
la qualité de l'eau. Depuis quelques années il existe de
nombreux appareils sur le marché, ils nous promettent
d'améliorer encore la qualité de l'eau, de la rendre plus
proche de l'eau de source, de l'assainir encore davantage. Et
notre soucis c’est de savoir si cela peut s'appliquer aux eaux
usées. Dans certains cas les résultats nous paraissent
fantaisistes ou douteux, mais il y a aussi des cas où on se dit
ça vaut la peine d'étudier cet appareil de plus près. Nous
allons prendre quelques mesures pour faire la comparaison qualité
de l'eau avec et sans traitement.” Les
premières mesures sont effectuées à l'institut de biophysique
de Neuss. Le professeur Popp y a développé une méthode qui
permet de capter même les plus infimes rayonnements lumineux
d'une substance. Le nombre de photons mesurés nous permet d'en
tirer des conclusions sur la conductivité de l'échantillon. "Ce
procédé est extrêmement sensible, il est bien plus sensible
que tous les autres procédés. Il nous permet de mesurer la
conductivité de l'eau et donc sa qualité avec une très grande
précision et de repérer des différences que les procédés
traditionnels ne font pas ressortir." Pour
les premières analyses nous prenons trois échantillons d'eau
non traitée et trois échantillons énergétisés. Nous testons
un appareil où l'eau passe à travers et un appareil fixe. "Il
s'avère que l'échantillon traité possède une dynamique
beaucoup plus courte il ne peut donc pas maintenir aussi
longtemps sa conductivité que l'échantillon traité. "C'est
fascinant de voir qu’il y a des différences d’un échantillon
à un autre, mon seul regret c’est que nous n’avons pas eu
les moyens financiers de faire dix ou vingts analyse et d'établir
des statistiques fiables, mais une chose est sûre l'eau qui a
traversé un appareil sans avoir subit de transformation chimique
d’aucune sorte a un comportement différent.” Nous
savons très peu de choses sur le comportement de l'eau sauf
qu'il ne cesse de nous surprendre comme dans cette fontaine
chinoise. Cette fontaine est restée pendant plusieurs semaines
dans le hall de la gare de Stuttgart où se tenait l'exposition
"un
monde dans une goutte".
Photographies de gouttes asséchées sous au microscope. Suivant
l'origine et la qualité de l'eau des images très différentes
apparaissent. On a redécouvert ce procédé à l'université de
Stuttgart. Bernd
Kroeplin est technicien dans le secteur de l'aéronautique.
Depuis plusieurs années il travaille au développement de
dirigeables géants, aujourd'hui il a découvert la dimension de
l'eau. Dans
un hall de gare plein à craquer Bernd Kroeplin a fait un exposé
de 90 minutes sur la mémoire de l'eau. Au programme du jour
“L'énergétisation
et les améliorations possible de la qualité de l'eau”. Lorsqu'elle
est soumise à une vibration la goutte d'eau prend des formes
extraordinaires. Ces images invisibles à l'œil nu Alexandre
Lauterwasser les a filmées avec une lampe stroboscopique. Nous
voyons ainsi au ralenti les déformations qui se produisent au
sein d'une goutte d'eau. Dans
les expériences de Lauterwasser il est question de morphogénèse,
la science qui étudie le développement des formes organiques
végétales et animales. La vie a commencé dans l'eau. Ces
images impressionnantes sont là pour nous le rappeler. "L'eau
est comparable à une substance organique et c'est pour cette
raison qu'elle réagit à des réalités totalement différentes,
qu'elle fait voler en éclat le cadre de la physique et qu'elle
se montre pour ainsi dire ouverte aux effets de force
complètement différentes." Rolland
Plocher. On le surnomme l'ondin du lac de Constance. Lui aussi
fait appel à des forces d'un genre nouveau. Il a eu plusieurs
maîtres dont Viktor Schauberger. “Nous
avons deux camps : d'une côté le chimiste qui fait ses analyses
: l'eau c'est H2O même s'il y a différentes qualités. Et de
l'autre le praticien Schauberger. Il a étudié le mouvement
enroulant de l'eau, sa capacité à stocker de l'énergie et à
se régénérer en permanence. Avec mon système nous pouvons
accélérer ce processus donc c'est complémentaire.” Plocher entend stimuler les eaux usées pour qu'elles se purifient d'elles-mêmes. Les premiers tests à Schladen en Basse Saxe dans une station d'épuration par lagunages impressionnent les exploitants. Jusqu'à
150 litres d'eaux usées par seconde s'écoulent dans les bassins
d'épuration où les substances polluantes comme le phosphate et
les composés azotés sont décomposés par des micro-organismes.
L'objectif de Plocher est d'accélérer ces processus d'épuration
biologique, les catalyseurs utilisés à cet effet sont produits
à l'échelle industrielle dans son usine de Merbourg au bord du
lac de Constance. Sur
un tapis roulant des récipients remplis de calcaire crétacé ou
de poudre de quartz passent sous des appareils invisibles censés
transmettre l'information oxygène. La presse a parlé de
supercherie ou de boîte à malice. Au
dessus du tapis roulant une caisse à clairevoie en bois où nous
jetons un coup d'œil dans la lanterne magique. Un trucage
permet de mettre en évidence ce qui n'est pas visible.
L'énergie transmises par ce dispositif n'est pas mesurable
scientifiquement. S'agit-il de fabulations ésotériques lorsque
Plocher affirme qu'il peut copier des informations sur la poudre
de quartz ? "Depuis
six mois nous mettons chaque jour 7 grammes de poudre Plocher,
résultats : les nuisances olfactives ont presque complètement
disparues. On assiste à la formation de bulles, signe qu'il y a
une activité biologique très forte. Autrefois il n'y avait pas
autant de bulles qui remontaient à la surface. Nous avons aussi
constaté que la population de micro-organismes ou de petits
animaux : puces d'eau, crustacés, daphnis avait fortement
augmentée." Mais
Plocher n'entend pas s'arrêter là. Il apporte de nouveaux
supports d'informations censés stimuler la station d'épuration.
Il s'agit de matériaux glaciaires venus d'Islande. Plocher les
verse dans les canaux de raccordement entre les bassins. Larges
et poreux, les cailloux se prêtent bien à l'installation de
micro-organismes. Selon Rolland Plocher, ils transmettent
également des informations aux eaux usées qui transitent dans
les canaux. “Nous
espérons que la société Plocher tiendra ses promesses. Pour
les paramètres d'épuration en sortie de station auxquelles se
réfèrent les autorités de contrôle nous espérons que les
valeurs baisseront dans des proportions appréciables. Cela
signifie environ 50 % de substances polluantes en moins dans les
eaux rejetées.” "On
copie sur les matériaux glaciaires l'information oxygène. Ainsi
on obtient le même résultat que si on aérait les bassins." "L'eau
doit transmettre l'information aux micro-organismes. Il y a
suffisamment d'oxygène - au travail !" A
la sortie de la station d'épuration on prélève des
échantillons. Les premières analyses font état d'une légère
amélioration que l'exploitant attribue cependant à la dilution
avec de l'eau de pluie. Plocher mise sur le facteur temps. Il
sait par expérience qu'il faut quelques mois pour que son
système entre en action. En attendant Plocher et ses
collaborateurs travaillent sur un autre projet. "Nous
avons eu l'idée de transmettre des informations aux
canalisations, ainsi elles seront aussitôt intégrées à
l'ensemble du système, résultat avant même leur arrivée dans
la station d'épuration on obtiendrait une amélioration de la
qualité des eaux usées." Peut-être
que les eaux usées se purifieraient d'elles-mêmes si on les
acheminait à la station d'épuration dans les conduits à
hélice. Des expériences ont démontré qu'on peut aisément
aspirer des particules polluantes solides à l'aide d'un
tourbillon. Pourquoi ne pas impliquer cette technique aux
stations d'épuration ? Le mouvement spiral de l'eau représente
pour Jörg Schauberger le programme énergétique de la nature. A
l'école Pythagore, Kepler de Bad Ischl, il organise des
séminaires sur l'eau et des ateliers. Les phénomènes et les
applications pratiques qui sont étudiés et analysés ici,
commencent enfin à intéresser la science académique. “Après
avoir considéré l'eau comme une simple formule chimique, nous
commençons à découvrir l'importance du rôle de l'eau dans
l'univers, que ce soit dans le processus vital des organismes ou
dans l'écosystème de la terre. On en vient à une compréhension
beaucoup plus large et profonde du phénomène de l'eau et du
rôle de celle-ci dans le maintien de la vie en général.” L'eau recouvre plus des deux tiers de la terre et le saviez les êtres humains sont constitués à 70% d’eau. |
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